Boualem Belhadri
L’on s’autorise à dire, sans réserves aucunes, que le dispositif ANSEJ a visé juste et que la stratégie à développer pour promouvoir les zones d’ombre et les populations villageoises est la mieux indiquée si toutefois elle doit s’écarter, d’une certaine manière du populisme et de la précipitation, car en termes d’équilibre régional, les zones d’ombre ont été toujours relégué au dernier rang de préoccupations des responsables locaux. Les responsables de l’ANSEJ, de la wilaya d’Ain Temouchent, ont pris le bâton du pèlerin à la conquête des zones d’ombre et des zones éparses laminées par la pauvreté, la marginalisation et l’enclavement social. Un premier jet de plus de 100 zones d’ombre a été prospecté en vue de l’inscrire dans une démarche globale du gouvernement et pour lequel l’ANSEJ lui attache de l’importance et de l’intérêt, dans les différents domaines de développement en égard des aspirations des jeunes des zones d’ombre. Au fait ce n’est pas une mince affaire et les jeunes de ces zones doivent être initiés et accompagnés pour voir clair et avoir une vision juste et transparente sur ce qu’ils peuvent entreprendre. L’approche économique à promouvoir par l’ANSEJ d’Ain Temouchent est l’axe central à promouvoir dans la campagne de sensibilisation de l’agence. Elle doit être conçue selon une vision globale, claire et transparente, loin de tout populisme et éprise de bonnes décisions qui s’inscrivent dans le temps et dans l’espace et qui soient définies selon des propositions des jeunes qu’il faut traduire en décisions d’inscription et transformer en projets innovants en fonction des spécificités de la région d’Ain Temouchent et des engagement de tous les intervenants de l’environnement immédiat. Des engagements qui doivent être planifiés et constitués la feuille de route de l’ensemble des opérateurs économiques.