Chahmi B.
Le déficit en parkings ne peut assurément expliquer ni justifier cette situation qui est contraire à la gestion de cette activité en ville et aux dispositions du plan de circulation mis en service en 2015 au moyen de l’argent de la collectivité. Celui-ci impose le stationnement alterné le long des boulevards du centre-ville mais cette réglementation est systématiquement et régulièrement foulée aux pieds par les automobilistes.
En effet, beaucoup de véhicules restent stationnés toute la journée sur les deux côtés de la voie publique, ce qui gêne considérablement le stationnement des voitures transportant des malades ainsi que la mobilité et l’accès des services du nettoiement et d’autres interventions en cas de besoin. Pour beaucoup, ces dysfonctionnements inadmissibles dans une ville censée être la capitale de l’Oranie, nécessitent l’application stricte de l’ancien plan de circulation ou sa révision afin de réglementer le stationnement des voitures au centre-ville. Quoi qu’il en soit, la prise en charge de ce problème est devenue plus urgente qu’indispensable pour assurer une certaine fluidité de la circulation au cœur de la ville qui étouffe sous le poids des véhicules. Cela devrait être accompagné d’une remise en état des parkings existants et l’aménagement d’autres dans les espaces non utilisés au centre et à la périphérie de la ville.