C.O

Les partis politiques sont de plus en plus présents sur le terrain, notamment, en cette nouvelle journée de la campagne électorale pour les locales du 27 novembre. Les chefs de partis appellent à « Investir sur les ressources humaines » et suggèrent des solutions de sortie pour une meilleure gestion des affaires locales ainsi qu’une meilleure prise en charge des attentes des citoyens.
Le président du parti « Voix du peuple », Lamine Osmani, en campagne à Mostaganem a plaidé pour le changement du système de gestion des collectivités locales à travers la révision du code communal. M. Osmani a indiqué que l’Algérie nouvelle a besoin d’APC moderne et que pour y arriver « il faut investir sur l’être humain ».
À Tiaret, le président de « Jil Jadid », Soufiane Djilali, a opté pour une rencontre de proximité où il a exhorté les électeurs à porter leurs choix sur les bonnes personnes, aptes à assumer cette responsabilité, car le changement ne peut se concrétiser que grâce à la volonté des futurs élus.
De son côté, la présidente de Tajamoue Amel El Jazair (TAJ), Fatima-Zohra Zerouati, a déclaré depuis Sidi Bel Abbès que a les futurs élus doivent être responsables et capable d’améliorer le mode de vie des citoyens de chaque localité. Ils seront également dans l’obligation de répondre aux attentes des citoyens et résoudre leurs problèmes.
Toujours du côté de la Mekerra, le président du parti El Karama, Mohamed Daoui, a appelé les Algériens à unir les rangs et au renforcement du front interne, afin de mettre en échec toute tentative visant à nuire au pays.
Depuis Sétif, le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abderrazak Makri, a prononcé un discours axé sur l’histoire et durant lequel il est revenu sur notre glorieuse guerre de libération nationale, qualifiant le mois de novembre comme le mois du changement. M. Makri a également convié les Sétifiens à aller voter en masse pour réaliser les changements souhaités.
Pour sa part, le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), Tayeb Zitouni a insisté sur l’éradication de l’argent sale de la scène politique et les mauvaises traditions des résidus d’Al Issaba, car le temps des veilles pratiques est révolu et l’intérêt général doit primer sur l’intérêt personnel, a-t-il martelé à Chlef.