Chahmi B.

Selon un sondage de Cap ouest qui suit de près les campagnes aux élections locales du 27 novembre prochain des partis le RND, HMS, El Bina ou El Moustakbal, il est primordial de signaler que pas moins de quatre favoris semblent prétendre prendre la tête de l’APW d’Oran. Il s’agit de Labiad Samia et Hbib Belaiz du RND ou Mohamed Chalabi et Ahmed Mentfakh Bina qui ont gagné quelques points durant cette campagne. Samia Labiad est proche des cours des oranaises et Oranais, elle cadre au niveau de la DJS depuis son jeune âge, connue sur la place d’Oran pour son dévouement au service des citoyens. Samia Labiad était élu au sein de l’APW durant le mandat écoulé et elle occupé le poste de présidente de la commission du transport et de la circulation. Elle a été une des membres les actives de l’APW. Pour la campagne en vue des élections locale du 27 novembre, elle a fait un travail de proximité c’est d’ailleurs la carte du RND qui appel à la nécessité d’opérer un « véritable changement » à travers la concrétisation du développement local et la prise en charge des doléances du citoyen faisant de lui un « partenaire clé » dans la gestion de la vie économique de la commune.
Quant à MM. Mohamed Chalabi et Ahmed Mentfakh, ils ont plaidé, pour leurs parts, pour “une nouvelle économie devant assurer l’autosuffisance et l’exportation”, qui est basée sur la valorisation des énergies renouvelables et l’agriculture.
Il existe également un outsider en la personne du docteur Abdelkader Djelali qui s’est illustré par ses différentes conférences sur le vécu des algériens vu que c’est un élément actif dans la société civile oranaise. Ce professeur de la communication et de l’histoire estimé qu’il ne peut y avoir de développement sans que “l’on donne à toutes les compétences algériennes l’occasion de construire une économie nationale qui réponde aux besoins des citoyens”.
Il insiste sur l’importance de la sécurité alimentaire, que les Assemblées populaires communales et de wilaya doivent prendre en considération afin d’attirer les investissements liés au développement de la production agricole.
Enfin, il indique que le “changement est aujourd’hui entre les mains du peuple seul et la véritable crise des élections est l’abstention”.