Linda Otsmane
Au deuxième jour de la rentrée scolaire, des parents d’élèves se sont manifesté devant l’école primaire « Dayakh Djilali », sise à la cité Emir Abdelkader, pour transmettre leurs doléances aux responsables concernés qui se résument en plusieurs carences détectées au niveau de cette infrastructure scolaire. En plus de la présence d’un câble électrique dans une zone accessible aux petits écoliers suite à des travaux « bâclés » qui ont été mené à la dernière minute, soit à quelques jours seulement de la rentrée scolaire, certains parents d’élèves interviewés par notre journal, ont soulevé le problème de la décharge sauvage entourant l’établissement en question. En effet, la présence des détritus et autres déchets ménagers qui envahissent les alentours, outre de donner une mauvaise image, porte atteinte à l’environnement du milieu scolaire et ce, en l’absence de campagnes de nettoiement prévues par l’APC dans le cadre de l’embellissement urbain.
Nos interlocuteurs se sont plaints également de la saleté qui règne mais pas que, puisque les murs fraichement peints ont carrément tachés les vêtements neufs des enfants notamment la couleur rouge utilisée pour la peinture de la cours et du terrain du sport, indiquent-ils. Sur un autre volet, notons que les parents d’élèves ont décidé de hausser le ton et de recourir à d’autres méthodes de protestation contre la directrice du CEM Mohamed Bouras de la cité Tourville absente depuis plus d’une semaine.
Sachant que son absence pose problème pour les élèves concernés pour le transfert inter-établissements pour des raisons de changement de lieux de résidence suite à l’opération du relogement. Une information sur laquelle nous y reviendront.