F.B
« Le ministère des affaires étrangères palestinien a mis en garde contre le fait de considérer les martyrs palestiniens comme des chiffres et des statistique », indique un communiqué de ce ministère selon l’agence de presse palestinienne Wafa. Le même ministère se désole de « la coexistence de la communauté internationale avec les massacres collectifs commis contre le peuple palestinien, dans la bande de Gaza, au 29ème jour consécutif », selon la même source. Le ministère a appelé à une position internationale humanitaire ferme obligeant Israël à arrêter la guerre et assure la protection pour les civils palestiniens. Il a souligné dans son communique que « la communauté internationale a été échoué de convaincre Netanyahu de faire entrer de carburant aux hôpitaux, pour poursuivre leurs services, notamment dans le nord de la bande de Gaza, ainsi qu’entrer les aides humanitaires, les médicaments et l’eau ». Se rendant à l’évidence, le ministre des affaires étrangères palestinien, a affirmé que « Netanyahu refuse de réaliser un cessez-le-feu, sous le nom d’une ‘Trêve humanitaire’ et répond à ces appels internationaux par le bombardement des hôpitaux, des convois d’ambulances et des écoles qui abritent les personnes déplacées de leurs maisons et des zones bombardées et détruites ». Le ministère des affaires étrangères a salué la position de la république de Honduras dénonçant le génocide collectif et les violations isareliennes du droit international, dont le peuple palestinien souffre, notamment dans la bande de Gaza. Par ailleurs, le même ministère a salué la position de l’Honduras, en tant que membre de la communauté internationale, envers l’agression persistante contre le peuple palestinien. Le ministère a exprimé l’espoir que le Honduras compléterait cette position de principe par d’autres mesures, pour revenir sur les décisions de son gouvernement précédent de transférer son ambassade à l’État occupant à Jérusalem, et que d’autres pays adopteraient des positions courageuses similaires et reconsidéreraient leurs relations diplomatiques et économiques avec l’Etat occupant, qui commet les crimes contre l’humanité les plus horribles, ce qui exige des punitions immédiates.