Amine Adali
Génocide, folie, tuerie, extermination, anéantissement… telles sont les pratiques de l’entité terroriste sioniste qui se banalisent au vu et au su de toute la communauté internationale qui se mue dans son silence complice et honteux! Saisie par le démon du racisme, de la haine et de la barbarie, l’entité sioniste continue son entreprise macabre d’extermination. L’ONU, par la voix de son secrétaire général Antonio Guterres, a une nouvelle fois réclamé d’urgence un cessez-le-feu dans la bande de Ghaza, devenue un cimetière pour les enfants. Le problème, c’est que l’ONU se contente pour l’heure de déclarations, n’a à aucun moment décidé d’envoyer une force onusienne pour imposer un cessez-le-feu à Gaza. Dans la longue chaîne des atrocités de l’Histoire, l’actuel génocide commis contre le peuple palestinien occupe une place singulière. Décidé et annoncé par une armée d’occupation, mis en œuvre avec tous les moyens de destruction massive, il a pour but d’exterminer tout un peuple jusqu’au dernier des palestiniens. Le bilan des crimes de guerre commis à Ghaza par l’entité sioniste continue de s’alourdir pour atteindre 11 078 personnes tuées dont 4 506 enfants, 3 027 femmes et 27 490 blessés selon un communiqué diffusé vendredi dernier. Le carnage doit immédiatement cesser. L’armée d’occupation est bel et bien en train de mener une œuvre d’extermination de masse, visant les femmes et les enfants, afin d’éliminer totalement les Palestiniens sur leurs terres ancestrales au profit des envahisseurs-colons sionistes. Dans sa guerre génocidaire, l’armée d’occupation israélienne, fait montre d’une psychopathie absolument incommensurable. Ce faisant, elle bombarde en priorité les hôpitaux, les centres de soins, les ambulances, les écoles et les mosquées. Ce carnage se fait avec la protection et le soutien des dirigeants occidentaux, et sans l’accord de la communauté internationale, dont l’impuissance est honteuse. L’Algérie réclame la punition du coupable sioniste. L’ancien président bolivien, Evo Morales, a soutenu l’initiative du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, de poursuivre l’occupation sioniste devant la Cour pénale internationale pour les crimes odieux qu’elle commet contre des civils sans défense à Ghaza. Evo Morales a confirmé que le gouvernement bolivien soutient cette initiative algérienne, sur la base de sa responsabilité internationale et comme un devoir moral envers le peuple palestinien. Auparavant, le président colombien, Gustavo Petro, avait confirmé que son pays soutenait l’appel du président Abdelmadjid Tebboune à porter plainte devant la Cour pénale internationale contre l’entité sioniste. En droit international, le génocide est reconnu depuis 1948 par la convention des Nations unies, qui énumère une série de crimes le constituant, dont le meurtre commis avec l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux. Gloire aux martyrs de Ghaza.
