Djamila.M

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a confirmé, à l’issue des événements de l’École d’hiver des logiciels libres, organisée par l’Université d’Oran 1 Ahmed Ben Bella, la position de l’Algérie sur la scène internationale en tant que grand levier de la technologie ouverte (open source), qualifiant la certification algérienne en informatique et logiciels de concurrent mondial.
Le ministre s’est dit convaincu qu’en 2027, l’Algérie sera un pays digitalement avancé et compétitif dans les domaines scientifiques et technologiques. Dans son discours, M.Baddari, a souligné que l’Université d’Oran 1, Ahmed Ben Bella, « cette illustre institution, avait démontré sa capacité à contribuer efficacement à la concrétisation de la vision d’une nouvelle Algérie en réalisant les axes stratégiques du programme présidentiel », estimant que sa coopération avec divers acteurs locaux, l’Université, a réussi à améliorer la qualité de l’enseignement supérieur et à relever les défis sociétaux par le développement de solutions scientifiques et technologiques innovantes, ce qui, souligne-t-il, « reflète notre engagement continu à la réalisation des nouveaux objectifs de l’Algérie fixés par le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune ». M. Baddari dira également que « le logiciel libre n’est pas seulement un outil technologique, mais aussi un moyen d’accroître notre autonomie numérique et de garantir la sécurité de nos informations nationales. ». Pour l’orateur, la participation des doctorants à cet événement, confirme leur rôle central dans le progrès de la recherche scientifique et de l’innovation. Il a rappelé que ces étudiants et participants seront responsables de la construction de l’avenir technologique avancé de l’Algérie, soulignant que les programmes de logiciels libres leur fournissent les outils nécessaires pour développer des solutions innovantes qui profitent à la société algérienne. Il a également salué les efforts de la commission des logiciels libres (Free Software Commission), qui avait contribué de manière significative au succès de l’événement, ajoutant que la nouvelle Algérie était en mesure d’être à la pointe des pays technologiquement avancés.