R.B

L’Université Djillali Liabès de Sidi Bel-Abbèsconserve, pour la troisième année consécutive, sa première place nationale dans le classement mondial “Times Higher Education World University Rankings”, partagée cette année avec l’Université d’El Oued. Cet accomplissement place les deux établissements dans la catégorie des 1200 à 1500 meilleures universités au monde, confirmant la progression remarquable de l’enseignement supérieur algérien sur la scène internationale.

Le directeur de l’université, Pr. Bouziani Merahi, a salué ce résultat, qu’il qualifie de “fruit d’une vision stratégique claire”, centrée sur le développement de la recherche scientifique, l’amélioration de la qualité de l’enseignement et le renforcement de la gouvernance universitaire.

Selon lui, cette réussite découle d’une politique d’investissement soutenu dans les infrastructures de recherche, la valorisation des compétences, et la promotion des publications scientifiques dans des revues indexées. L’université a également mis l’accent sur la formation continue et la création d’un environnement académique favorisant l’innovation et l’ouverture sur les milieux national et international.

Le Pr. Merahi a également souligné l’importance des partenariats internationaux et des jumelagesavec des établissements étrangers de renom, qui ont permis d’améliorer les indicateurs liés à l’ouverture et au transfert de connaissances. Ces efforts s’accompagnent du développement de programmes de formation modernes, alignés sur les besoins du marché du travail et les exigences de la recherche appliquée.

Enfin, le recteur a insisté sur le fait que ce classement « ne constitue pas une fin en soi, mais une motivation » pour viser des positions plus avancées aux niveaux continental et mondial, invitant la communauté universitaire à poursuivre la dynamique d’excellence au service du développement du système national d’enseignement supérieur.

Le classement “Times Higher Education World University Rankings” est l’un des plus prestigieux à l’échelle internationale. Il évalue les universités selon des critères rigoureux, tels que la qualité de l’enseignement, l’impact de la recherche,l’ouverture internationale et le transfert des connaissances vers l’industrie et la société.