Belhadri. Boualem
La chambre de commerce et d’industrie Sufat, d’Ain Témouchent a mis le paquet, dans le domaine de la formation destinée à améliorer les cursus universitaires et professionnels des produits de l’université, de la formation professionnelle, des employés des secteurs économiques et administratifs et des agents des organismes et agences de prestation de service dans différents domaines d’activités. Ainsi le management, la finance islamique, l’entrepreneuriat, le rôle des dispositifs d’aide dans le développement économique, la gestion des risques dans les banques islamiques, le rôle de l’entrepreneuriat dans la réalisation de la diversification économique et autres thématiques étaient à l’affiche de nombreux ateliers présentés par des experts avec la collaboration de la maison de l’entrepreneuriat. Ces ateliers, tenus, mercredi dernier, ont eu pour cadres des amphithéâtres de l’université Belhadj Bouchaib. En termes de statistiques, l’un des conférenciers, avait laissé entendre que depuis 1998 jusqu’à 2018, l’ANSEJ avait financé, dans la wilaya de Chlef 8528 projets dont 78% avaient trait au transport public. Cependant l’orateur avait dit aussi que 66% des projets présentés sont légués aux jeunes de la formation professionnelle et- seulement 18 relevaient des produits de l’université. En sus 14% des projets relevaient de la junte féminine. Ce qui ne se dit pas, avertit l’expert, est que les médias ont révélé un taux de mortalité de près de 60%, un chiffre que l’on prend sous réserve et pose véritablement une problématique non des moindres s’il s’avère juste. Ce fait marquant pose un problème de continuité de l’activité économique.


















