Wassila. B

Le peuple algérien a fait son choix et a tenu à le faire savoir par le moyen le plus civilisé : le suffrage universel. M. Abdelmadjid Tebboune a réalisé un triomphe et a été réélu Président de la République en obtenant 5.329.253 voix, soit un taux de 94,65% des voix exprimées, à l’issue de l’élection présidentielle qui s’est déroulée samedi, selon les résultats préliminaires annoncées, dimanche, par le président de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), Mohamed Charfi. Il est suivi du candidat du Mouvement de la société pour la paix (MSP), M. Abdelaâli Hassani Cherif qui a obtenu 178.797 voix, soit un taux de 3,17% et du candidat du Front des forces socialistes (FFS), M. Youcef Aouchiche qui a obtenu 122.146 voix, soit un taux de 2,16%. Le Candidat indépendant M. Abdelmadjid Tebboune a ainsi réalisé un véritable raz-de-marée, synonyme d’une totale légitimité pour poursuivre son vaste projet patriotique entamé durant le premier mandat. Cette victoire réalisée par le peuple pour le peuple place de fait l’Algérie, dans un statut de véritable modèle de démocratie dans le monde. Un modèle marqué par une saine et respectueuse compétition ouverte pour toutes les sensibilités et courants politiques du pays. Le meilleur a gagné et ses concurrents ont salué sa victoire. Toute la presse internationale a été témoin de cette compétition démocratique de haute qualité.
Les ennemis de l’Algérie ont perdu sur toute la ligne. L’Algérie a ainsi donné une leçon de démocratie au monde entier. Cette réélection du président Tebboune intervient dans un contexte marqué par un État algérien fort et stable sur les plans, politique et sécuritaire avec une économie forte et résiliente, disposant d’institutions légitimes et d’un front interne, fort, cohérent et synergique. La stabilisation des institutions démocratiquement élues reste déterminante. L’Algérie est aujourd’hui un pays redouté militairement, politiquement et sur d’autres plans et tout le monde reconnaît ses exploits tant sur le plan démocratique qu’économique. La campagne électorale a été marquée par un grand engouement populaire ayant débouché sur une réélection largement méritée du président Tebboune ouvrant ainsi un nouveau chapitre de pratique démocratique soutenue par un arsenal juridique interdisant tout usage de l’argent sale dans le processus électoral, garantissant la transparence et l’intégrité du suffrage.
C’est une victoire démocratique que vient de réaliser l’Algérie. Le rendez-vous électoral du 7 septembre prochain couronne le processus démocratique initié par le président Tebboune, et concrétise, dans la nouvelle Algérie, le principe de « la souveraineté du peuple, pour le peuple ».
En tant qu’Algériens, nous ne pouvons qu’être fiers des progrès tangibles qui ont été accomplis dans le processus d’édification de l’expérience démocratique algérienne, émanant des valeurs de notre société et principes de la glorieuse révolution de novembre, confortée par la grandeur des sacrifices des martyrs de la résistance nationale et ceux du devoir national pendant la décennie noire, ce qui a permis à notre pays d’atteindre aujourd’hui l’étape de l’enracinement démocratique, loin de tout diktat de l’extérieur.