Z.M
La création du jardin citadin et méditerranéen, sur la frange maritime et sa continuité en deuxième partie dénommée jardin citadin 2, est un important projet de plus d’une dizaine d’hectares favorablement accueillie par la population oranaise et ses visiteurs.
En plus de son investissement et des travaux menés à l’intérieur, dans un but d’apporter au citoyen et à la ville d’Oran, un cadre de vie agréable, il se trouve que l’on nous impose pour des raisons nullement objectives, de payer des gardiens de voitures à raison de 100 dinars, qui a décidé cela et pourquoi, un tel projet de la ville doit inévitablement passer par la case gardien de voiture, une activité devenue objet de conflits entre citoyens, notamment les automobilistes et les gardiens de voitures autoproclamés ?
A voir une telle situation, les visiteurs pensent directement à une situation d’insécurité, alors que nos corps de police et de gendarmerie ne cessent d’afficher leur efficacité dans le maintien de l’ordre et la protection des biens et personnes.
Sur la rue Mohamed Khemisti, au centre-ville d’Oran, la chaussée est partagée entre plusieurs jeunes, là aussi gardiens de voitures autoproclamés, imposant aux automobilistes une taxe pour le stationnement sur une voie publique. Un peu plus loin, la situation est plus grave encore, devant la clinique St Anne, une maternité et un centre hospitalier, ou l’on impose aussi un gardiennage. Devant le CHU Dr Benzerdjeb aussi, un gardien vous impose de payer une taxe, alors que les gens viennent pour se soigner et ceci pour dire que du côté des gardiens, le comportement est cynique en imposant une taxe à proximité de lieux, où la gratuité est imposée par la commune.
Faut-il refaire la même opération de boycott des gardiens de parkings comme durant la saison estivale, comme activité les pouvoirs publics doivent impérativement bannir cette auto-proclamation de gardien de voiture à tous les coins de rue ?



















