Djamila.M
Selon le directeur du Bureau des liaisons universitaire des affaires (BLEU) Oran 1, pas moins de 70 accords ont été signés avec des partenaires nationaux et internationaux. Dans un entretien accordé à Cap Dz, le directeur du (BLEU), a annoncé que l’Université compte quelque 31 conventions internationales et 41 nationales, conclues avec des entreprises économiques, entre sociétés sociales privées et gouvernementales versées dans tous les domaines tels que le secteur énergétique, à l’instar de Sonatrach, et ce dans le but d’une meilleure formation et d’assurer un recrutement efficace des nouveaux diplômés universitaires, en mettant en liaison l’université et le partenaire économique selon la spécialisation et de promouvoir la coopération et l’échange de connaissances entre les parties. Cet interlocuteur notera par ailleurs, que l’université cherche à faciliter l’accès des étudiants aux opportunités des stages de formation, aux projets de recherche ou, simplement, d’emplois au sein de l’entreprise et à promouvoir la recherche et le développement conjointement, dans des domaines d’intérêt mutuel, grâce aussi, souligne le directeur, aux programmes de stage de formation et d’ateliers professionnels pour les étudiants, ayant un rapport avec les besoins immédiats de l’entreprise, notamment pour les étudiants en dernière année d’études. « Ce qui permettra, estime-t-il, de rapprocher l’étudiant du monde de l’emploi avant sa sortie de l’université et pour qu’il puisse occuper un emploi immédiatement après avoir obtenu son diplôme universitaire. Le bureau, vise également à créer une nouvelle génération d’entrepreneurs en travaillant en coordination avec le Bureau de l’incubateur d’entreprises et le Centre pour le développement de l’entrepreneuriat afin de pousser les limites de l’innovation et promouvoir l’esprit entrepreneurial et la création d’entreprises que cela soit des entreprises émergentes ou des micro-entreprises, lesquelles contribueront d’une manière significative au développement de l’économie locale, d’une part, et constitueront une alternative à la résorption du chômage, de l‘autre.