Wassila. B
Sous l’impulsion du ministre Saïd Sayoud, la modernisation du transport par bus s’accompagne d’une réforme globale : réorganisation du réseau urbain et interurbain, digitalisation progressive de la billetterie, renforcement de la sécurité routière et amélioration du confort des usagers. Ces avancées concrètes traduisent la mise en œuvre d’une vision présidentielle ambitieuse : celle d’un service public de transport moderne, accessible et fiable. L’Algérie avance, et ses routes en sont aujourd’hui le plus fidèle témoin. Ce jeudi 16 octobre à Chlef, le Premier ministre Sifi Ghrieb a donné le coup d’envoi d’une opération d’envergure nationale : la concrétisation de la décision du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, d’importer 10 000 bus neufs. Cet acte, hautement symbolique et stratégique, marque une étape majeure dans la modernisation du transport public et la relance de l’industrie mécanique nationale. Aux côtés du Premier ministre, la présence du ministre de l’Intérieur et des Transports, Saïd Sayoud, n’était pas fortuite. Elle illustre la continuité et la cohérence d’une politique menée avec rigueur et vision. Depuis sa nomination, le ministre s’emploie à transformer en profondeur le paysage du transport national, en plaçant la qualité du service public et la sécurité des usagers au cœur de son action. L’opération lancée à Chlef traduit concrètement cette volonté : trois opérateurs (l’EDIV, Tirsam de Batna et Pen Pu Algérie basée à Chlef) ont reçu leurs autorisations d’importation. Le choix de ces entreprises, seules actives dans la production de bus et de camions, témoigne d’un souci d’efficacité et de cohérence industrielle. Mais surtout, il reflète un cap clair : renforcer la production nationale tout en intégrant les acteurs privés dans la dynamique de modernisation. Comme l’a souligné le Premier ministre, « nous avons tenu à ce que cette opération bénéficie d’abord aux industriels locaux ». Ce principe, défendu avec constance par Saïd Sayoud, vise à bâtir un écosystème durable où chaque maillon, de la fabrication à la maintenance, participe à la souveraineté économique du pays. Les mémorandums d’entente signés entre les constructeurs et une quinzaine de sous-traitants nationaux illustrent cette approche vertueuse : moderniser, oui, mais en consolidant nos bases productives. À travers cette initiative, l’Algérie démontre qu’elle ne se contente plus d’importer, mais qu’elle investit dans un modèle économique intégrant la production locale, la sous-traitance et la maintenance. Saïd Sayoud, par son engagement et sa méthode, incarne cette nouvelle gouvernance de proximité, rigoureuse et tournée vers l’efficacité. Moderniser le transport, c’est moderniser la vie quotidienne de millions d’Algériens. C’est permettre à chaque citoyen de se déplacer plus facilement, plus sûrement, et dans la dignité. Ce jeudi à Chlef, c’est toute l’Algérie qui a pris la route du renouveau, une route tracée par la vision du président Tebboune et mise en œuvre avec détermination par le ministre Saïd Sayoud.