M. Jalil
Des habitants de la cité 733 logements CNEP AADL de Hai el Yasmine ont dénoncé le squat d’un propriétaire d’un magasin à toute une partie des parties communes et un espace public. En effet, le commerçant a procédé à un aménagement de son commerce tout en squattant l’espace des arcades, posant ainsi des rideaux pour empêcher le passage des piétons. Selon l’un des voisins habitant dans le même bâtiment : « Une telle violation des lois régissant l’aspect urbanistique des villes, ne devrait pas avoir lieu, et passer inaperçue, si ce n’est la complicité de certaines parties. Dans notre cité c’est la CNEP IMMO qui prend en charge la gestion immobilière, mais étant absente du terrain, ce commerçant n’a pas été remis à l’ordre. », dira notre interlocuteur. Et d’ajouter : « Le silence de la CNEP IMMO est traduit comme une autorisation à l’anarchie, tous les autres commerçants vont emboiter le pas au squatteur et les arcades seront donc un espace de non-droit. ». Des voisins appellent les responsables locaux à intervenir afin d’instaurer la loi et empêcher de nouvelle violations de l’aspect urbanistique de la cité, comme le stipule le contrat. Selon eux, ces modifications anarchiques et illicites sont réalisées contrairement aux dispositions légales et réglementaires, de la loi qui indique que «tout citoyen doit protéger la propriété publique et respecter la propriété des autres». Ils appellent à user de la force de la loi pour assainir ce secteur et stopper ce phénomène. Il y a lieu de rappeler, que lorsque les bvénéficiaires des logements ou des locaux di programme de la AADL/CNEP IMMO, il est stipulé que dans le but de sauvegarder le visage urbanistique, il est interdit d’entamer les travaux de construction, élargissement ou modification sans l’obtention d’un permis de construire ou une autorisation par la CNEP IMMO, une clause de bafouer ! rt