Wassila. B
Le Makhzen poursuit ses violentes attaques contre l’Algérie. Manipulé par l’entité sioniste, le régime marocain qui est aux abois sur le plan interne, continue dans sa stratégie de diversion, qui se décline en des incessantes tentatives de déstabiliser l’Algérie pour détourner l’attention de ses crises internes. Une politique vouée à l’échec utilisée par la monarchie marocaine pour tenter de manipuler l’opinion publique par des moyens numériques. Ce décryptage émane de l’analyste politique marocain qui évoque une guerre de désinformation numérique hostile menée contre l’Algérie. L’analyste politique marocain Badr El Aidoudi a indiqué que les attaques contre l’Algérie sur les réseaux sociaux font partie d’une guerre de désinformation menée par les services secrets marocains, à la solde de l’entité sioniste. Invité à dans une émission de la Radio Internationale Algérienne, l’analyste marocain Badr El Aidoudi a expliqué que les récentes tentatives de déstabilisation rentrent dans le cadre d’une politique visant l’atteinte à la sécurité et à la stabilité de l’Algérie. Il a mis au grand jour, entre autres, des campagnes comme le hashtag #Manich_Radhi, lancé depuis le Maroc, orchestrées par des officines marocaines de désinformation pour tenter de déstabiliser l’Algérie. La réponse des Algériens a été immédiate. Ces hashtags « manich radi » ont été conçus et mis en œuvre sous de faux comptes et des pages faussement attribués à des Algériens. Pour contrer cette campagne de désinformation, des algériens ont riposté en masse en lançant le hashtag « Ana mâa bladi ». En quelques heures, le message a connu une diffusion spectaculaire, de grande ampleur, comme en témoigne sa déclinaison sur la plateforme X. Le président Tebboune a dénoncé récemment le hashtag « manich radi ». « Nous protégerons ce pays dont le peuple a le sang des martyrs qui coule dans les veines. Que tout le monde soit rassuré, l’Algérie ne peut être dévorée par un hashtag », a-t-il affirmé.
El Aidoudi a estimé que ces attaques cachent des “guerres hybrides”, indiquant que le Maroc, qui est un sous-traitant de l’entité sioniste, mène ces campagnes hostiles. Il a souligné que d’importants budgets et des formations spécialisées sont consacrés à ces opérations pour porter atteinte à la sécurité algérienne à travers des campagnes numériques agressives. Ces tentatives violentes ont pour objectif d’influencer négativement l’opinion publique algérienne, en recourant à des manipulations médiatiques et à des campagnes de désinformation via des plateformes sociales. L’analyste a aussi souligné le rôle nocif de l’entité sioniste dans le soutien apporté au régime marocain qu’elle manipule à dessins. Il a dévoilé que des journalistes et influenceurs marocains ont été formés en Israël à des techniques de propagande anti-algérienne. « Il y a des preuves irréfutables d’une collaboration étroite entre le Maroc et l’entité sioniste dans la conduite de cette guerre médiatique contre l’Algérie », a-t-il révélé.




















