Treize (13) nourrissons sont morts de froid  depuis le début de la nouvelle année dans la bande de Ghaza, ravagée par le  génocide commis par l’entité sioniste entre le 7 octobre 2023 et le 19  janvier 2025, selon les Nations Unies.  A Ghaza, où prévaut un cessez-le-feu fragile depuis le 19 janvier, de  fortes pluies ont endommagé de nombreux abris de fortune dressés au milieu  des décombres et de nombreuses familles palestiniennes n’ont plus que les  vêtements qu’elles portent sur le dos. Cette situation a entraîné la mort  de 13 nourrissons depuis le début de la nouvelle année, selon l’ONU.”Avant  la guerre, à Ghaza, alors que les hivers étaient rudes, les enfants avaient  des maisons où s’abriter, des hôpitaux fonctionnels et un accès au  chauffage, à la nourriture et aux soins médicaux. Aujourd’hui, des  quartiers entiers sont en ruine, des familles vivent dans des tentes de  fortune avec peu de protection contre le froid et les hôpitaux sont au bord  de l’effondrement”, a déclaré Salim Owais, du Fonds des Nations Unies pour  l’enfance (UNICEF) à des médias. Selon les termes du cessez-le-feu, d’ici la fin de la première étape ce  week-end, l’entité sioniste doit autoriser l’entrée de 200.000 tentes  décentes dans Ghaza. Or, selon les estimations de l’ONU, seule une fraction de cette aide est  arrivée. Le cessez-le-feu a permis au Programme alimentaire mondial de  l’ONU (PAM) d’acheminer des tonnes de provisions et d’ouvrir 25  boulangeries, mais “les progrès restent fragiles”. “La situation reste dramatique”, a déclaré le PAM, la plupart des  Palestiniens vivant dans des décombres. “L’aide doit être maintenue”, a  ajouté l’agence onusienne, citée par des médias.