Belmadani Hamza
Les rues du quartier du Plateau, la rue Mostaganem, Maata El Habib, Boulevard Mascara ne désemplissent pas de véhicules stationnés sur les accotements, mettant en danger la vie des piétons.
Oran vit une crise sans précédent, un désordre indescriptible en ce qui concerne la circulation routière, puisque l’organisme responsable à savoir : la Direction du Transport de la wilaya, n’a pas encore réussi à élaborer un plan de circulation à même de la rendre plus fluide. De même que les bureaux d’études chargés par les responsables de présenter un plan de circulation sont pointés du doigt à cause du retard engendré, pour finaliser leur étude et présenter un plan de circulation acceptable.
Selon des spécialistes, le squat des trottoirs est dû en partie, à la grande pression sur la ville, et l’augmentation du nombre des véhicules qui circulent dans la ville quotidiennement estimé à 80.000 véhicules.
Notons que le squat des accotements a engendré des accidents mortels, des piétons ont été fauchés par des véhicules.
Il est à rappeler que depuis quelques années, l’anarchie frappe de plein fouet, parmi notre société des personnes autoproclamées gardiens de parkings sont vus pratiquement à chaque rue, devant chaque administration et même au niveau des cités, ces «parkingueurs» font désormais partie du quotidien des automobilistes, qui ne se posent plus de question, en voyant des personnes vêtues d’un gilet jaune leur demander de payer sa place dans des endroits qui ne sont pas forcément isolés, ou dangereux pour garer sa voiture.



















