Wassila. B
Dans un contexte marqué par les complots incessants contre l’unité et la stabilité de l’Algérie, le nom de Kamel Daoud resurgit comme une figure emblématique de la haute trahison et de la décadence morale. Cet individu, qui a érigé la déloyauté en profession sur les Champs-Élysées, s’illustre une fois de plus comme un instrument docile entre les mains des forces hostiles à l’intégrité nationale. Daoud confirme son rôle de mercenaire au service de la propagande néo-coloniale. Dans sa dernière apparition médiatique, en couverture du magazine Le Point, Kamel Daoud a franchi une nouvelle ligne rouge en reprenant le discours divisionniste cher à l’ancienne puissance coloniale. Sous couvert de journalisme, il s’est évertué à promouvoir une vision toxique de l’Algérie, tentant de séparer la Kabylie du reste du pays en évoquant un prétendu « peuple kabyle », comme si cette région fière et patriote n’était pas une composante indissociable de la nation algérienne. Cette rhétorique n’est pas nouvelle. Elle s’inscrit dans la continuité des vieilles stratégies coloniales visant à fragmenter l’Algérie, à opposer ses enfants les uns aux autres, et à raviver des divisions que le sang des martyrs a pourtant scellées à jamais. Daoud, en véritable mercenaire des mots, se fait le porte-voix de ceux qui rêvent encore de voir l’Algérie affaiblie et divisée. Daoud est un traître à la solde des ennemis de la nation. Kamel Daoud n’a jamais été un journaliste ou un écrivain au sens noble du terme. Il est, et restera, un traître qui a vendu sa plume et sa conscience aux ennemis de son pays. Son passé de plagiaire, ses prises de position haineuses, et sa collaboration ouverte avec des cercles hostiles à l’Algérie en témoignent. Le grand écrivain Rachid Boudjedra l’a d’ailleurs classé sans équivoque parmi les traîtres, et l’histoire lui donnera raison. Daoud n’est pas un intellectuel égaré : il incarne un véritable projet de subversion, visant à saper l’unité nationale et à servir les intérêts de ceux qui n’ont jamais accepté l’indépendance et la souveraineté de l’Algérie. L’Algérie est plus forte que les manigances. Kamel Daoud échouera, comme ont échoué avant lui tous ceux qui ont tenté de briser l’unité du peuple algérien. L’Algérie, forgée dans le sacrifice d’un million et demi de chahids, restera unie et debout, malgré les manœuvres de ses détracteurs. La Kabylie, comme toutes les régions d’Algérie, est et restera algérienne. Ses enfants, fiers et attachés à leur patrie, rejettent avec mépris les discours de division que Daoud et ses commanditaires tentent de propager. Ceux qui, depuis les salons parisiens, croient pouvoir instrumentaliser des mercenaires pour atteindre l’Algérie, doivent comprendre que leur haine est vaine, et leurs ruses sont condamnées à l’échec. L’Algérie est une nation unie, forte de son histoire et de la détermination de son peuple. Honte à toi, Kamel Daoud, d’avoir choisi le camp de la trahison. Ton nom restera à jamais gravé dans l’infamie, comme un symbole de la bassesse et de la déloyauté. Quant à l’Algérie, elle continuera son chemin, inébranlable, malgré les complots et les traîtres. Gloire à nos martyrs, et vive l’Algérie unie et indivisible !