Wassila. B
L’Algérie vient de boucler la première année du second mandat du président Tebboune. Une année charnière de concrétisations tangibles qui dessinent les contours d’une « Algérie victorieuse », résolument tournée vers l’avenir. De l’édification démocratique à la souveraineté économique, en passant par une diplomatie éclairée, ce bilan de douze mois s’inscrit dans la continuité d’une dynamique réformatrice profonde, impulsée dès 2019. Dès sa prestation de serment, le chef de l’État avait placé la barre haut: honorer l’héritage des chouhada en faisant de la jeunesse et de la dignité du citoyen les piliers du projet national. Cet engagement s’est traduit par une gouvernance rigoureuse, axée sur l’équité territoriale. La modernisation des institutions s’est accélérée grâce à de nouveaux mécanismes de participation politique et sociale, offrant à la jeunesse une place inédite dans les arènes décisionnelles, à travers des instances consultatives et constitutionnelles. Il s’agit de contribuer activement à la construction nationale.
Sur le front social, l’État a renforcé son caractère providence. La volonté présidentielle de préserver la dignité des Algériens s’est incarnée dans des politiques ciblées : accès au logement, amélioration des services publics et mesures de protection du pouvoir d’achat. Les retombées sont déjà perçues par la population, avec des améliorations notables dans plusieurs secteurs de base. Cette approche place l’humain au centre du développement, rappelant que la croissance n’a de sens que si elle est partagée. Justement, la relance économique constitue l’un des points saillants de cette année. Sous l’impulsion présidentielle, l’Algérie affiche l’un des taux de croissance les plus dynamiques de la région méditerranéenne. Cette performance est le fruit d’une stratégie volontariste : diversification des ressources, maîtrise des grands équilibres macroéconomiques et lancement d’importants projets d’infrastructures. Des événements structurants, comme la deuxième Rencontre nationale avec les opérateurs économiques sous le slogan « Algérie 2025, année de la réussite économique », ont revitalisé le dialogue entre l’État et le secteur privé. Une dynamique saluée par les institutions financières internationales, qui reconnaissent la crédibilité retrouvée de l’économie nationale. La vie politique n’est pas en reste. Le président Tebboune a instauré une nouvelle tradition de transparence et de dialogue direct, multipliant les consultations avec les partis politiques, la société civile et les médias. Les rencontres régulières, telles que le Gouvernement-walis, ont brisé les anciens silos et créé une culture de redevabilité. Cette démarche vise à consolider un pluralisme politique authentique. Sur la scène internationale, l’Algérie a affirmé avec force son retour en tant qu’acteur pivot. Elle a consolidé son leadership en Afrique et dans le monde arabe, tout en élargissant ses partenariats stratégiques, notamment avec l’Europe. Les visites officielles du président et des dirigeants étrangers à Alger ont débouché sur la signature d’accords de coopération structurants. Au terme de cette première année, les contours d’une nouvelle Algérie se confirment. Le cap est fixé, la victoire est en marche.
