Boualem. Belhadri
La jeunesse, de la commune de Tamzourah (55km au nord-est d’Ain Témouchent), s’avère désarçonnée, ces derniers temps.
Cause ? Ils regardent avec impuissance des postes de travail s’attribuer à des gens venants d’autres régions alors que s’est le contraire qui devait arriver, car les opérateurs économiques qui activent au niveau de la zone industrielle de Tamzourah ont tendance, selon les propos des jeunes de la communes qui se sont confessés à la presse et à la radio locale, à favoriser la main d’œuvre extramuros.
Pour la première fois on entend le maire de la commune appuyer les jeunes désemparés et frustrés qui viennent poser le problème devant tous et qui veut les écouter et s’intéresser à leurs doléances devenues à longue des préoccupations majeures qui s’accumulent au fil des jours.
Certainement ce problème va appâter et animer les débats lors de la campagne électorale encore à ses débuts et avec peu d’engouement à l’horizon. L’on se rappelle au début du lancement de la zone industrielle, les propos de l’ex directeur de l’industrie qui avait, à l’époque, insisté à ce que le gros lot de la main d’œuvre soit puisé du stock de la wilaya avec une priorité accordée aux jeunes de la commune de Tamzourah.
Il était excepté les diplômés de rang universitaire et les ingénieurs experts dans des domaines techniques spécifiques non disponibles au niveau local et à l’échelle wilaya. « J’appuie les propositions des jeunes de ma commune et je confirme ce qu’ils demandent, avait lancé le maire de Tamzourah.