Dans une correspondance adressée à notre rédaction par voie d’huissier de justice en date du 29 novembre 2022, la direction du complexe touristique « Les andalouses », dé-
ment les informations rapportées dans notre article intitulé « L’apc d’el ançor dénonce/ La sous-location de la plage des an- dalouses à un privé serait une transgression à la loi ! », publié dans l’édition portant le n° 2528 datée du dimanche 30 octobre 2022, signé par notre journaliste Kaid omar. nous reprodui- sons ci-dessous le texte rédigé en langue arabe, du démenti.

REPONSE DE LA REDACTION

A la suite du démenti de la Direction du Complexe Les Andalouses, en réaction à la publication dans notre journal intitulée « L’Apc d’El Ançor dénonce/ La sous-location de la plage des Andalouses à un privé serait une transgression à la loi ! », la Rédaction du journal tient à apporter les précisions suivantes :

– Que notre journaliste, tout autant que notre journal, n’ont jamais eu l’intention à faire des procès d’intention à des personnes, encore plus à des gestionnaires du secteur public,

– Que la seule motivation qui anime nos publications est de s’arrêter au seul constat, chose que nous avons accompli loyalement en rapportant fidèlement les déclarations et avis des gestionnaires des structures concernées et ceux du secteur professionnel objet de toute publication.

– Rappelons également, que nous ne manifestons aucun ressentiment envers aucune personne, plus particulièrement quand il s’agit de gestionnaires chargés de veiller à la bonne marche des établissements, à l’exemple du complexe Les Andalouses qui reste un symbole et une fierté pour la région d’Oran et pour le secteur du tourisme algérien.

– Et de clore cette mise au point pour rappeler que notre noble mission est motivée par notre constat à mettre à nu toute tentative de violation, de transgression des lois de la république, autant que notre conscience nous interpelle en permanence pour dénoncer et attirer l’attention des pouvoirs publics sur les faits de dilapidation, de détournement et d’évaporation des deniers publics, les biens de tout le peuple algérien et non l’inverse. Et c’est aux pouvoirs publics à décider des dispositions à prendre. Et à rappeler également qu’aucune pression, ni manœuvre malveillante ne peuvent nous dévier de nos motivations, ni de notre ligne éditoriale, encore moins remettre en cause notre intégrité dans nos profondes convictions d’informer fidèlement et d’assurer dignement notre noble mission.